La réalité d’une pseudo révolution

La Tunisie, depuis bientôt deux ans, est dans un engrenage dont elle aurait bien pu s'en passée.

Toute l'histoire de la Tunisie " moderne" (que l'on pensait)  semble aujourd’hui  compromise. Trop de vérités  cachées, trop de "on dit», trop de duperies.

 

Et c'est surement pour cela que ce pays a été " choisi  "comme prélude  à ce qui est appelé communément "Révolution Arabe».

 Le plan diabolique mis en place est tout simplement : LA SECURITE D’ISRAEL.

 Eh oui cette sécurité, a eu son point de départ à Sidi  Bouzid un certain 17 décembre 2010.

En effet, mettre le feu ou la pagaille, dans le pays Arabe, musulman, le plus tolérant le plus ouvert, le plus moderne  était l'objectif  pour faire tomber tous ces autres pays.

 Cette sécurité d’Israël, garantie par les States, passe inévitablement par la Syrie et l’Iran.

Toucher à l’Iran, doté de l'arme chimique et du nucléaire, serait risqué.

Pour installer le chaos dans la région ,il fallait donc aller chercher un peu plus loin et c'est la Tunisie qui a fait le rôle du "LIEVRE" .

 L’intérêt donc est de voir TOUS CES PAYS ARABO-MUSULMANS DANS LE CHAOS, LEUR FAIRE INSTALLER UN ESPRIT DE GUERRE RELIGIEUSE  ET CIVIL.

 La finalité étant de provoquer cette scission entre Musulmans Sunnites et Chiites, pour ensuite aller directement frapper aux portes de l'Iran s'en avoir à s'inquiéter de la réaction des pays Arabes Sunnites.

D’ailleurs, je suis convaincu  que l'entrée militaire  en terre Iranienne se fera avec des Sunnites.

 

On comprendra très rapidement d’ailleurs, pourquoi LE QATAR est la pièce maitresse de la stratégie. Sa situation Géographique le met le premier en danger, et son alliance avec Israël et les USA  en sont la preuve.

 

Entre temps, en Tunisie, nous parlons de Démocratie, de Liberté.

Quoi de mieux que d’autoriser l’existence de plus de 140 partis politiques pour « éclater » la société ?

Quoi de mieux que monter les tunisiens les uns contre les autres au nom  de la religion ?

Les bons acteurs ont été trouvé, et la mise en scène parfaite.

par Khaled Bouassida